Le développement de la 4G n’a pas permis d’endiguer la baisse des revenus pour les opérateurs. Elle est juste moins pire et est en voie de stabilisation. Pour les revenus du fixe, La «guerre» des prix déclenchée par Bouygues n’a pas d’incidence sur les calculs de l’ARCEP, car cela ne touche qu’une petite partie du parc d’abonnés. A noter que 53,6% des cartes SIM actives le sont pour la 3G et la 4G, contre 47,6% il y a un an. La 2G a encore de beaux jours devant elle.